Le Francombat s’adapte à tous

Quels que soient les genres
Hommes, femmes (de plus en plus concernées par les incivilités et « violences » quotidiennes), enfants dès l’âge de 6 ans pour les plus jeunes. (qui grâce au cadre structurant du Francombat développent une grande confiance en soi)

Quels que soient les âges
Jeunes et moins jeunes ont tous leur place.

Quel que soit le niveau sportif
Néophyte, sportif occasionnel ou sportif expérimenté

La technique

La technicité concerne le corps. C’est la première demande des élèves. Elle procure habileté, savoir-faire et compétence. En formant l’outil d’attaque ou de riposte, en l’adaptant aux multiples situations de combat, elle étend les capacités à faire face à condition de parler vrai. Ainsi formé, l’élève peut viser la perfectibilité de sa technique. En acceptant une méthodologie qui lui procure plus de confort, il devra aussi apprendre que la technique a comme adjoint le mental et la stratégie pour l’initier à savoir repousser ses limites.

Techniques de poing, de pied, de coude ou de genoux, mais aussi projections, immobilisations, clés,… sont des outils indispensables à l’efficacité sur le terrain.

Le mental

Faire face à un conflit (un vrai !) suppose de disposer d’un mental solide dans un corps éprouvé (par la technicité). Insuffisamment formé pour la plupart, il exige une préparation en amont sous peine de voir s’installer le doute.

Il devra tout mettre en œuvre pour posséder un esprit non entravé par l’émotion, le doute, le stress… et disposer d’une volonté inébranlable qui ne soit pas que simple motivation.

Ainsi préparé, le Francombattant forge une image de soi solide et développe la confiance en soi ainsi que la maîtrise de soi nécessaire aux combats de la vie.

La stratégie

C’est l’élément central de l’enseignement. La stratégie s’appuie sur trois éléments majeurs mouvement, distances et environnement. L’adaptation coiffant le tout. Toute technique bien apprise doit être au service de ces trois éléments.

Être stratège, c’est viser l’efficacité et donc mettre en œuvre le mouvement des corps comme celui de l’esprit dans le respect des distances et cela quel que soit le terrain.

Trois grands principes régissent les combats pour vaincre un adversaire :

  1. La liberté d’action afin de se soustraire à la volonté de l’agresseur en n’acceptant pas ses conditions. Ainsi, oser prendre l’initiative. est un facteur essentiel pour préserver sa liberté d’action.
  2. L’économie des forces, pour les préserver et n’en dépenser que le strict nécessaire.
  3. La concentration des efforts consiste donc à imaginer (en amont dans l’entraînement) puis à mettre en œuvre (sur le plan tactique) un ensemble de frappes ou d’actions qui visent à modifier les équilibres de l’adversaire, son rapport de force.

Ce rapport de force, si simple soit-il en apparence, mérite une attention toute particulière.